samedi 12 juillet 2008

whooo vista et msn sur psp

voilà windows vista sur la psp

voilà comme promis windows vista sur la psp!!(pas le vrais vista, seulement une edition spéciale)

vendredi 4 juillet 2008

Dragon Ball Z : Shin Budokai 2 (test de jeuxvideo.com)

Bien que le parcours des adaptations de Dragon Ball Z sur consoles soit assez inégal, la PSP avait eu la chance d'hériter d'un épisode exclusif de haut vol. Les fans de la série, qui étaient restés sur une très bonne impression avec ce titre, ne pouvaient donc que s'impatienter de voir enfin sa suite, Dragon Ball Z : Shin Budokai 2, débouler à son tour sur la portable de Sony. Ces derniers risquent pourtant d'avoir la mauvaise surprise de constater que le soft n'a plus grand-chose à voir avec son prédécesseur.



Ceux qui avaient placé tous leurs espoirs dans ce deuxième Shin Budokai devraient en effet être les plus déconcertés par cette suite qui marque un tel changement dans la conception du jeu que les deux titres n'ont plus du tout l'air d'appartenir à la même série. Si le gameplay a subi quelques modifications, c'est surtout au niveau du contenu et du déroulement du scénario que le titre se démarque de son grand frère. Ce dernier ayant montré quelques faiblesses induites par une trop grande linéarité et une durée de vie limitée, les responsables de Shin Budokai 2 ont décidé de revoir entièrement le mode solo. Bien mal leur en a pris puisque, si les nouvelles idées semblent pertinentes sur le papier, ça n'est pas du tout le cas dans la pratique.
Un duel que vous n'avez pas fini de voir en mode scénario.

Le mode solo (Another Road ou Une Autre Voie en vf) gravite maintenant autour d'un scénario alternatif axé sur l'histoire de Trunks. La notion de voyage dans le temps est donc allègrement utilisée pour servir de prétexte à l'intervention successive de tous les personnages-clés de la série, de Cell à Freezer, en passant par Dabra et Babidi. La conséquence de cet improbable méli-mélo est de rendre l'histoire aussi incompréhensible qu'inintéressante à suivre. Il faut par ailleurs accepter l'idée que Trunks sera le principal personnage jouable durant l'aventure, et même le seul au cours des premières heures de jeu. On aurait bien aimé, par exemple, pouvoir changer de personnage durant les niveaux où interviennent des alliés. Un aspect contraignant et répétitif qui se retrouve d'ailleurs dans l'enchaînement des missions dont les objectifs ne se renouvellent pas assez pour nous ôter le sentiment désagréable de faire tout le temps la même chose.
Protégez les villes en repoussant les agresseurs, bien souvent des clones de nos héros.


Ces missions font généralement intervenir une carte en 3D montrant la planète vue du ciel, sur laquelle vous devez voler à la recherche de vos objectifs. La plupart du temps, il s'agit essentiellement de protéger des villes en interceptant les ennemis qui les ont pris pour cible. Lorsque vous entrez en contact avec l'un d'eux, un combat s'engage pour déterminer lequel de vous va l'emporter. Si vous perdez mais qu'il vous reste des haricots Senzu en poche, vous pourrez tenter une nouvelle approche. Si vous gagnez, l'ennemi quittera définitivement la zone lorsqu'il n'aura plus rien pour se régénérer. De temps à autres, des objectifs secondaires pourront vous être confiés, comme vaincre tel ennemi sans vous faire toucher, mais leur réussite n'a pas de conséquence sur le succès de la mission principale. Le scénario fait ainsi intervenir une série de chapitres découpés en missions qui ne sont accessibles qu'en prenant certains embranchements, tout ça pour vous inciter à y revenir plusieurs fois afin de découvrir toutes les ramifications de l'histoire.
Un nouveau système de cartes pour booster les stats.


S'il y a de quoi être fortement déçu par le déroulement du mode solo, le manque d'intérêt des missions et le caractère peu inspiré de la narration, on sera tout de même un peu plus enthousiaste vis-à-vis des scènes de combats. Celles-ci n'apportent cependant pas de réelle évolution par rapport au système de jeu propre au premier Shin Budokai, mais elles offrent toujours pas mal de possibilités. Le plus déconcertant est sans doute le rendu visuel qui s'avère moins impressionnant qu'auparavant. Si le cel shading est toujours de mise, son utilisation se fait plus discrète dans le sens où les personnages apparaissent souvent en tout petit à l'écran. Du coup, on remarque surtout le vide sidéral qui caractérise les environnements en 3D et leurs textures peu ragoûtantes. Ceci se fait quand même au profit de la liberté de mouvement qui autorise maintenant une plus grande marge de manoeuvre, bien que le résultat soit encore très loin de ce qu'on a pu voir par exemple dans les derniers Tenkaichi. Les affrontements gagnent bien sûr en intérêt à mesure que vous débloquez les transformations de chaque personnage, gagnant ainsi de nouvelles techniques spéciales et des attaques ultimes supplémentaires. Celles-ci ne sont malheureusement pas très renversantes, mais la profondeur du gameplay réussit à nous faire oublier ces désagréments. On retrouve en effet tout ce qui a fait le succès des Budokai dans le système de combat, avec les combos de poursuite et l'aura amplifiée qui peut être combinée à tous les types d'attaques (smash, kikoha, attaque ultime...). La substitution et la bonne gestion du ki sont toujours les clés menant à une bonne maîtrise des combats.

Un exemple de combat en mode Défi.
Les capacités des personnages jouables sont à présent dépendantes d'un deck de cartes que vous pouvez associer librement à chacun des héros disponibles avant le début d'une mission. Ces "cartes booster" renforceront la plupart de vos aptitudes suivant plusieurs niveaux de puissance, mais le nombre de bonus utilisables est limité pour chaque combattant. Tout ça ne vaut pas, à mon avis, le gain classique d'XP entraînant l'évolution définitive des statistiques de chaque personnage du jeu, mais on s'y fait. Le mode solo n'étant pas franchement passionnant, on en vient presque à se féliciter qu'il n'y ait pas plus de chapitres à terminer. La durée de vie est compensée par la présence d'autres modes parmi lesquels on retiendra surtout les affrontements en réseau qui ouvrent des perspectives beaucoup plus intéressantes concernant le potentiel du jeu à long terme. En revanche, les épreuves Z se limitent à des combats de survie, des parcours en contre-la-montre ainsi qu'une cinquantaine de défis à relever pour apprendre à maîtriser les subtilités du gameplay. Enfin, les matches en arcade vous confronteront successivement à une série d'opposants choisis aléatoirement parmi tous les personnages du jeu. Pour une fois qu'une série prend des risques pour se renouveler, on aurait préféré ne pas avoir à regretter l'ancienne formule, mais il y a de grandes chances pour que les puristes soient en grande partie déçus par cet épisode.

mercredi 2 juillet 2008

mario 64 pour psp !!


Ce nouvel homebrew, codé en lua par Seanpaul223 est un jeu de course sur le thème de nintendo très bien réalisé. Dans cet épisode vous pourrez incarner deux personnages, luigi et mario, vous aurez également le choix entre trois circuits. Le jeu gère également les meilleurs temps.
Screenshots:



Installation :
  • Connectez votre PSP à votre ordinateur via USB,
  • Passez votre PSP en "Mode USB" grâce à l'option "Connexion USB",
  • Cliquez avec le bouton droit sur le fichier que vous avez téléchargé,
  • Choisissez "Extraire les fichiers...", (WinRAR doit être installé)
  • Choisissez comme destination la lettre affectée par votre PSP dans le poste de travail
  • Appuyez sur OK et attendez l'extraction complète des fichiers,
  • Quittez le "Mode USB" de votre PSP,
  • Rendez vous dans le menu Jeu > Memory Stick pour lancer Mario kart 64 v1 édition psp.


  • Échanges de données et connectique

    • Port USB 2.0 (connecteur type mini B).
    • Adaptateur Wi-Fi (puces Marvell Libertas 88W8010 et 88W8380, resp. transmetteur et traitement) à la norme Wireless LAN IEEE 802.11b d'une portée de 30 à 200 m, modes infrastructure et ad-hoc, désactivable.
    • Lecteur de mémoire flash Memory Stick Pro Duo et Duo (support des capacités > 8 G depuis le firmware 3.30), lecteur UMD (support optique, propriétaire).
    • Port d'extension, réservé.
    • Sortie audio stéréo (prise jack 3,5 mm), haut-parleurs intégrés.
    • Port infrarouge IrDA, protocole Sony Control-S (SIRCS), supprimé sur la PSP Slim and Lite.
    • Connecteur alimentation continue 5 volts.

    Officiellement, on ne peut brancher la PSP que dans la prise USB (avec un câble adaptant d'une prise de type A vers Mini B) d'un ordinateur ayant comme système d'exploitation minimum Windows XP, un système Linux récent comme Ubuntu ou SuSE ou même sur un Mac.[citation nécessaire] La PSP est également accessible sur d'autres systèmes à condition de placer les fichiers dans des répertoires spécifiques, selon leur type (la mémoire de la PSP est reconnu comme média de stockage de masse).

    Il n'existe actuellement pas de graveur UMD pour le grand public sur le marché (Sony n'en sortira probablement jamais)

    fiche detaillée de la psp (wikipedia)

    • Couleurs : noire, blanche, grise, bleue, rose, rouge, argentée ou or champagne selon les pays
    • Dimensions : 170mm (longueur) x 74mm (largeur) x 23mm (épaisseur)
    • Poids : 280g environ, batterie incluse pour une PSP FAT et 189g environ pour une PSP Slim & Lite
    • Son : haut-parleurs stéréo internes

    Descriptif technique détaillé [modifier]

    • Processeur central (CPU Core) : architecture MIPS RS4000 sur 32 bits, cadencé à 333 MHz ( pour les micrologiciel officiels inférieurs à 3.5, la vitesse disponible n'est que de 222 MHz ) sur un bus mémoire 128 bits. Deux unités de calcul intégrées : FPU et VFPU (unité de traitement en parallèle). Puissance de traitement de 2,6 GFLOPS.
    • Mémoire principale : 32 MiB RAM (64 MiB RAM pour la PSP Slim) et 4 MiB eDRAM (embedded DRAM) à 2,6 Gio/s.
    • Processeur multimédia (Media Engine) : second processeur RS4000 avec 2 Mio de mémoire eDRAM dédiée.
    • Deux processeurs graphiques : 3D Curved Surface + 3D Polygon (Core 1) et moteur de rendu 3D et de traitement des surfaces (Core 2), cadencé à 166 MHz sur un bus 256 bits, 2 Mio mémoire vidéo eDRAM à 5,3 Gio/s pour une puissance de traitement maximale de 664 M pixels/s, 33 M polygones/s (T&L), support couleur RGBA.
    • Processeur audio (Sound Core Virtual Mobile Engine) : DSP 128 bits reconfigurable, 5 GFLOPS.
    • Décodeur matériel MPEG-4 AVC (H.264) Main Profile Level3.

    UMD

    Icône de détail Article connexe : Universal Media Disc.

    La PSP use d’un lecteur de disque compatible avec le format Universel Media Disc que possède Sony. Cet "UMD" renferme 1.80Go en double couche de données. L’utilisation du lecteur augmente la consommation de la batterie de environ 10%, la PSP fut ainsi critiquée de possédér un temps de transfèrt de donnés très lent pour leurs UMD, traduisant a des temps de chargement de plus de 2 minutes en tout pour quelques jeux. Or ceci fut amélioré avec la sortie de la nouvelle PSP connu sous le nom de PSP-Slim, elle possède ainsi maintenant une durée de vie de la batterie supérieure (si utilisée avec l'ancienne batterie) et des temps de chargement plus rapide

    Formats supportés

    • Lecteurs : la PSP dispose d'un lecteur de disques UMD sur la façade arrière, et sur le côté gauche d'un port pour placer des cartes mémoires de type Memory Stick Duo. Quel que soit l'endroit où elle est commercialisée, la PSP peut lire des UMD de jeux et des UMD musicaux provenant de partout dans le monde. En revanche, les UMD de films sont limités par un système de zones. Ainsi, un UMD vidéo acheté aux États-Unis (zone 1) ne peut être lu sur une PSP japonaise ou européenne (zone 2).
    • Vidéos : l'utilisateur peut regarder des films codés selon le standard MP4/AVC. Les codecs utilisés sont H.264/AVC MP Level3 et MPEG-4.
    • Images : les formats d'images affichables sont nombreux, on compte notamment les principaux formats tels que JPEG, BMP, PNG...
    • Internet : la PSP supporte la lecture de fils RSS au moyen du navigateur intégré.

    Écran

    LCD TFT de 11 cm (4.3") de diagonale au format 16/9

    • Résolution : 480×272 16/9 ou 320×240 4:3 en 16,76 millions de couleurs

    fiche detaillée de la psp

    donne moi plus d'information sur ma psp !!


    La PlayStation Portable ou PSP est la première console de jeux vidéo portable de Sony, commercialisée depuis 2004. Elle marque un tournant dans l'histoire des consoles portables, car elle propose une qualité d'image et des capacités générales approchant celles de la PlayStation 2, une console de salon.

    La PlayStation Portable permet de jouer à des jeux vidéo, regarder des vidéos et des images, écouter de la musique, ainsi que naviguer sur Internet. Son système de connexion sans fil permet de faire communiquer jusqu'à seize machines en même temps les unes avec les autres, grâce à la fonction de « mise en réseau ad hoc ».

    Fin 2007, Sony lance la PSP Slim & Lite, plus fine, plus légère, et possédant plus de fonctions que la première version.

    La PSP est une console portable qui en plus des jeux, offre un ensemble de fonctions multimédia. La console fait ainsi office de :

    • lecteur musical ;
    • lecteur de vidéos ;
    • afficheur d'images ;
    • navigateur internet, par une connexion Wi-Fi.

    Elle dispose d'une petite mémoire interne, complétée d'une carte mémoire Memory Stick Duo dont les tailles peuvent varier de 32 Mo à 32 Go dans laquelle le joueur peut stocker ses photos, vidéos, musiques et les sauvegardes des jeux auxquels il a joué.

    Jeux et films sont commercialisés sous la forme de petits disques au format UMD.

    La PSP se distingue des autres consoles portables existantes par sa connectique élargie :

    • port en sortie USB, permettant de la brancher à un ordinateur ou d'adapter différents équipements : appareil photo, webcam, GPS, système de haut-parleurs... ;
    • équipement wi-fi, permettant d'aller naviguer sur internet ou de se connecter à d'autres PSP sans connexion filaire ;
    • la PSP fonctionne selon un système d'exploitation (qu'on appelle le firmware), à l'identique des systèmes d'exploitation que l'on trouve sur les ordinateurs.

    Le système d'exploitation de la PSP a deux particularités :

    • Il est régulièrement mis à jour par le constructeur, pour proposer de nouvelles fonctionnalités. Ainsi, l'interface a été améliorée au fil des mises à jour, un navigateur internet a été ajouté, le logiciel pour faire marcher un appareil photo (Go! Cam, vendu séparément), ou des options plus avancées comme le support des flux RSS. Les dernières mises à jour permettent de la faire fonctionner avec la nouvelle Playstation 3.
    • Il est possible d'installer un autre système d'exploitation à la place. Cela s'appelle installer un custom firmware. Bien que non supportée par le constructeur Sony, cette manipulation permet d'avoir un firmware d'apparence semblable aux firmwares du constructeur et pouvant en plus exécuter des programmes réalisés par des programmeurs indépendants. Ces programmes (aussi appelés Homebrews qui signifie « faits maison ») proposent des fonctions diverses. Leur publication dépend de la bonne volonté de la communauté de développeurs amateurs. Un exemple notoire est le logiciel Mapthis! qui permet de faire fonctionner la navigation avec le récepteur GPS. Les custom firmware permettent également de faire fonctionner des copies de jeux (également appelés backups) au format ISO, copies de jeux dont l'utilisateur se doit de posséder l'original.